Écoute le chant de la Anqa
Écoute la cantilène de l’esprit
Dont chaque note est la graine
Qui féconde tous les corps
Feu du Phœnix de la vie
La vie sans fin nouvelle à chaque instant
Aux six horizons des mondes
Souffle continu qui parcourt
Les cercles spiralaires de l’ascension spirituelle.
Écoute le chant de la Warqa
Entends la voix de l’âme universelle
La colombe de toutes les âmes
Passées, présentes et à venir
La voix du covenant primordial
Qui se dresse dans la rectitude
Face au serpent de la division
Et retient sous son aile les souffles
De la miséricorde et de l’agrément.
Écoute bien le cri de la `Uqab
Saisis d’un trait la parole unifiée du Calame
L’aigle de la synthèse et de la distinction
L’oeil perçant de la vision allusive
Lorsque du plus haut du ciel de la certitude
Il étend son ombre lumineuse
Sur l’océan sans limite des mondes innombrables
Chacun de ses regards est le nom d’une créature
En lui sont scellés tous les secrets du Subtil.
Comprends la vertu du ghurab
Il est le réceptacle de la miséricorde
Ne t’arrête pas à la noirceur de son plumage
Il est le corps de tous les êtres
Il est la terre de toutes les âmes
Et le vêtement de tous les esprits
C’est un corbeau qui inspire
Le rejet des ignorants
Alors qu’il est l'écrin des perles du secret.
Écoute l’unisson du chant des quatre oiseaux
Écoute sans désunir la mélopée
Car le sais-tu tu es leur demeure
L’arbre aux mille racines
Dont le tronc s’élève à la cime des cieux
Et dont la ramure atteint les confins de l’univers
Si tu ouvres ta poitrine
Si tu libères ton coeur de sa prison
Tu seras l’homme de tous les hommes.
Écoute la cantilène de l’esprit
Dont chaque note est la graine
Qui féconde tous les corps
Feu du Phœnix de la vie
La vie sans fin nouvelle à chaque instant
Aux six horizons des mondes
Souffle continu qui parcourt
Les cercles spiralaires de l’ascension spirituelle.
Écoute le chant de la Warqa
Entends la voix de l’âme universelle
La colombe de toutes les âmes
Passées, présentes et à venir
La voix du covenant primordial
Qui se dresse dans la rectitude
Face au serpent de la division
Et retient sous son aile les souffles
De la miséricorde et de l’agrément.
Écoute bien le cri de la `Uqab
Saisis d’un trait la parole unifiée du Calame
L’aigle de la synthèse et de la distinction
L’oeil perçant de la vision allusive
Lorsque du plus haut du ciel de la certitude
Il étend son ombre lumineuse
Sur l’océan sans limite des mondes innombrables
Chacun de ses regards est le nom d’une créature
En lui sont scellés tous les secrets du Subtil.
Comprends la vertu du ghurab
Il est le réceptacle de la miséricorde
Ne t’arrête pas à la noirceur de son plumage
Il est le corps de tous les êtres
Il est la terre de toutes les âmes
Et le vêtement de tous les esprits
C’est un corbeau qui inspire
Le rejet des ignorants
Alors qu’il est l'écrin des perles du secret.
Écoute l’unisson du chant des quatre oiseaux
Écoute sans désunir la mélopée
Car le sais-tu tu es leur demeure
L’arbre aux mille racines
Dont le tronc s’élève à la cime des cieux
Et dont la ramure atteint les confins de l’univers
Si tu ouvres ta poitrine
Si tu libères ton coeur de sa prison
Tu seras l’homme de tous les hommes.
Jean d'Armelin
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